Revenir à soi… sans cesser d’être parent.
Les 1000 premiers jours… c’est un temps à part.
Un espace suspendu entre ce qui est déjà là – l’enfant, la famille, les nouveaux repères – et tout ce qui reste à inventer.
C’est une période où l’enfant pose les fondations de son avenir : sécurité affective, développement moteur, langage, autonomie émotionnelle, confiance.
Mais dans l’ombre de ces progrès visibles, se jouent aussi des tempêtes intérieures, des colères, des régressions, des pleurs inexpliqués.
Le tout dans un corps et un cerveau en construction permanente.
Et face à cela, les parents naviguent souvent à vue, épuisés, culpabilisés, tiraillés entre l’intuition et la pression.
Tu fais de ton mieux. Mais parfois ton enfant t’épuise. Parfois tu ne comprends pas ce qu’il vit.
Les 1000 premiers jours, c’est aussi un miroir émotionnel.
L’enfant vient réveiller chez le parent d’anciennes blessures, des peurs, des histoires familiales parfois non digérées. Il oblige à poser des limites… alors qu’on doute de soi. À être stable… quand on est intérieurement en vrac.
La kinésiologie peut accompagner toute la famille:
L’enfant: hypersensibilité, troubles du sommeil, difficultés d’attachement, colères inexpliquées, retards moteurs ou émotionnels...
Et les parents : surcharge mentale, fatigue chronique, réactivations inconscientes, sentiment d’échec ou de déséquilibre familial...
On vient remettre du lien là où il y a du flou, du calme là où il y a de la tension, du sens là où il y a du doute.
C’est une approche douce, mais profonde. Corps et émotions ensemble, pour grandir plus sereinement. Ensemble.
Dans quels moments la kinésiologie peut vous aider ?
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