Se redéfinir, sans se déchirer.

L’adolescence.
Ce moment flou entre l’enfant qu’il n’est plus… et l’adulte qu’il ne sait pas encore être.

Le corps change, la voix se transforme, les émotions deviennent volcaniques.
Et le cerveau, lui, réorganise toute son architecture : il remet à jour les circuits de la prise de décision, de la gestion des impulsions, du jugement, du lien social. Résultat : un être à fleur de peau, en quête de repères, en lutte entre le besoin d’attachement et l’appel de l’indépendance.

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Pour l’adolescent·e, c’est une période d’intensité intérieure.
Il ou elle peut se sentir incompris·e, à vif, hypersensible, oscillant entre confiance démesurée et doute abyssal. Les émotions débordent, les conflits surgissent, le rapport au corps devient complexe. L’école peut devenir une pression de trop. L’image de soi est fragile. Et le monde autour, souvent perçu comme intrusif ou jugeant.

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Et en face, il y a toi, parent.
Tu veux aider, mais tu marches sur des œufs.
Tu vois ton ado se fermer, exploser, fuir les échanges ou chercher les limites. Tu veux le protéger sans l’enfermer, le guider sans le braquer.
Tu ressens parfois de la colère, de l’inquiétude, de la tristesse… et même un sentiment d’échec.

Ce que vous vivez est un processus normal, mais il peut devenir très difficile à traverser seul.

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La kinésiologie peut vous accompagner, chacun à votre place.
→ Chez l’ado, elle vient libérer les tensions accumulées, calmer le mental, apaiser les émotions extrêmes, restaurer la confiance en soi, travailler sur le corps ou l’identité, sans obliger à "parler" de tout.
→ Pour les parents, elle permet d’apaiser les blessures réactivées, de sortir de la culpabilité ou de l’hyper-contrôle, de restaurer une posture stable et apaisée dans la tempête.

Quand chacun retrouve un espace pour lui, la relation peut se transformer.
Pas en redevenant comme avant. Mais en posant les bases d’un nouveau lien, plus conscient, plus respectueux, plus adulte.